Jon Rahm s’est hissé à la cinquième place du classement mondial de golf après avoir remporté l’Open d’Espagne au Club de Campo Villa de Madrid. Avec une moyenne de 7,08 points, Rahm dépasse l’Américain Xander Schauffele (7,06) au classement, dans lequel l’Australien Cameron Smith (8,86) ravit une fois de plus la deuxième place au Nord-Irlandais Rory McIlroy (8,75) et se place en tant qu’écuyer du leader incontesté l’Américain Scottie Scheffler (9,35).
Jon Rahm, résultats
Le également américain Patrick Cantlay, deuxième ce dimanche à Las Vegas dans le tournoi du circuit américain après le sud-coréen Tom Kim, consolide la quatrième position (8.52). Pablo Larrazábal et Adri Arnaus sont à égalité pour la 75e place sur la liste mondiale après avoir perdu plusieurs positions, tandis que Sergio García en grimpe une et est 80e.
Rahm est par ailleurs dixième sur la liste du DP World Tour menée par McIlroy et dans laquelle Larrazábal est également le deuxième Espagnol, seizième, Adrián Otaegui est vingt-quatrième et Arnaus vingt-cinquième. Le triomphe du Madrilène Eugenio López-Chacarra à Bangkok ne se reflète pas dans le classement mondial, car l’Official World Golf Ranking (OWGR) a confirmé que les tournois du circuit LIV Golf de cette saison n’offriraient pas de points pour le classement.
Jon Rahm, « El León de Barrika », a remporté l’Open d’Espagne pour la troisième fois, égalant Severiano Ballesteros avec trois victoires et souriant à nouveau sur la pelouse du Club de Campo Villa de Madrid, où jouer sans la pression de l’année dernière profite.
Le golfeur basque de 27 ans a augmenté son record avec une nouvelle victoire à l’Open d’Espagne. Il l’a fait après avoir terminé un magnifique tournoi dans lequel même dans les pires moments, comme le deuxième jour, il s’est jeté d’office pour sauver la journée et continuer à opter pour tout ensemble avec Min Woo Lee, son ombre pendant les quatre jours à Madrid, placé que l’Australien a été son partenaire de match tout au long du tournoi et à la fin le rival à battre au moment décisif.
« Peut-être que j’ai moins de pression que l’année dernière, mais maintenant je ne vais pas fixer de limites, ni hautes ni basses », a déclaré Rahm, après avoir joué le deuxième jour, quand il a vu que les sensations qui n’apparaissaient nulle part l’année dernière étaient accompagnées dans celui-ci, plus libérées dans son jeu.