Le cauchemar du Heysel est de retour. On ne peut pas mourir pour un match de football : les supporters de la Juventus le savent bien. Malheureusement, dans la tragédie du stade belge, ils ont vu 39 vies s’éteindre. Une tragédie qui n’aurait jamais dû se reproduire et pourtant elle s’est reproduite…
Le cauchemar du Heysel est revenu à la vie et cette fois, la folie des hommes a coûté la vie à plus de 120 personnes. La tragédie s’est produite à Malangune ville de la province de Javaen Indonésie. Au moins 125 personnes seraient décédées. Selon les informations en provenance du pays asiatique, elles sont mortes à la suite d’affrontements entre des supporters de l’équipe de football de l’Union européenne. Arema e Persebaya Surabaya, rivaux historiques du football indonésien.
Le match en question était censé être une célébration du sport, mais malheureusement, comme c’est désormais trop souvent le cas, l’événement s’est progressivement transformé en un film d’horreur macabre. En fait, une fois que les affrontements ont éclaté, la police a dû intervenir pour arrêter l’agression et les charges de la police indonésienne ont provoqué une bousculade qui a conduit à la tragédie.
Indonésie : le cauchemar du Heysel est de retour, mais que s’est-il passé ?
L’un des pires désastres de stade sportif au monde a causé… 125 morts et sur 180 blessés dans un match de football à Indonésie. La police a utilisé des gaz lacrymogènes en réponse à une invasion du terrain par des supporters en émeute, provoquant la panique parmi les spectateurs. Les policiers et les organisateurs sportifs se penchent actuellement sur un certain nombre de problèmes liés à cette tragédie, notamment l’utilisation de gaz lacrymogènes à l’intérieur de l’installation, ce qui est contraire aux directives de la Fifa. L’incident s’est produit après un match au cours duquel le club javanais Arema a été vaincu par les rivaux de la Persebaya Surabaya au stade Kanjuruhan dans la ville de Malang, Java.
« Les supporters de l’une des deux équipes ont pris d’assaut le terrain et la police a tiré des gaz lacrymogènes, provoquant des cas de suffocation.« le chef de la police a dit, Nico Afinta. Parmi les morts, il y avait deux officiers de police. De nombreuses personnes ont été écrasées lorsqu’elles ont tenté de s’échapper du stade, a déclaré le chef de la police.