L’ancien 17e mondial Bernard Tomic a utilisé Instagram après sa défaite au premier tour des qualifications de l’Open d’Australie pour donner des nouvelles de son état de santé. Tomic a dit à l’arbitre de chaise à la mi-match qu’il serait testé positif au COVID-19 après le match.
Tomic a fini par s’incliner face à Roman Safiullin, le Russe ayant battu l’Australien 6-1, 6-4 pour accéder au deuxième tour des qualifications à Melbourne Park. Après le match, Tomic a commencé à s’isoler dans sa chambre d’hôtel.
« Je me sens vraiment malade, je suis de retour dans ma chambre d’hôtel maintenant. Je viens de parler aux médecins sur place et ils m’ont demandé de m’isoler. Ils ne pouvaient toujours pas me traiter pour éviter tout contact.
Merci pour tout le soutien sur le terrain aujourd’hui, j’apprécie vraiment ! Je ferai mieux la prochaine fois. Très déçu car je voulais rendre les Australiens fiers et réaliser une bonne performance sur mon terrain », a déclaré Tomic dans une story Instagram.
Tomic n’a pas eu la moindre chance contre Safiullin
Tomic a sauvé trois balles de break dans le deuxième jeu du match pour égaliser le set à un jeu partout. Safiullin a ensuite réalisé trois breaks consécutifs et remporté sept jeux consécutifs pour prendre une avance de 6-1, 2-0.
Safiullin a ensuite gardé son service jusqu’à la fin du match pour remporter une victoire en deux sets. Le mois dernier, Tomic, 257e mondial, a dit combien il était déterminé à revenir au sommet. « J’ai eu beaucoup de haine dans ma vie.
Mais je ne peux pas abandonner. Vous pensez que je ne vois pas les commentaires haineux ? Ça fait mal », a déclaré Tomic en décembre. « Dans le passé, j’avais l’habitude de me laisser aller et de réagir par stupidité. Mais maintenant je l’utilise comme carburant, je suis prêt. Personne ne peut m’arrêter maintenant, sauf moi.
Je m’entraîne, je transpire, je pousse, je suis excité. Tout ce qu’il faut pour revenir au sommet. Le travail acharné porte ses fruits. J’ai mis mon sang, ma sueur et mes larmes dans ce sport. Je suis déjà revenu. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.