En Afrique du Sud, un excellent départ pour Nino Bertasio qui a terminé le premier tour du Steyn City Championship en deuxième position, avec un score de 64 (-8), et n’est qu’à un coup du sommet occupé par James Hart Du Preez, en tête avec 63 (-9).
A Johannesburg, dans le tournoi organisé conjointement par le DP World Tour et le Sunshine Tour, Bertasio a enregistré un essai sans bogey, avec huit birdies (quatre dans les neuf premiers trous et autant dans le deuxième).
Nino Bertasio, déclarations
« Je suis vraiment heureux, je ne suis pas venu d’une période de jeu brillante et au contraire l’entraînement porte enfin ses fruits », déclare Bertasio.
Le joueur de Brescia, sur le parcours de The Club at Steyn City (par 72), partage la deuxième position avec les Sud-Africains Jaco Ahlers et Shaun Norris. Parmi les Azzurri, un départ convaincant aussi pour Francesco Laporta, 30/o avec 68 (-4) et auteur de six birdies, avec deux bogeys.
L’Apulien précède le Turinois Edoardo Molinari, 55 / o avec 69 (-3) devant le Romain Andrea Pavan, 95 / o avec 71 (-1). En plus de Bertasio, Du Preez, 26 ans, a pris la vedette dans les 18 trous d’ouverture. Le golfeur de Pretoria, 210 centimètres de haut pour 117 kilogrammes, s’est fait connaître ces derniers mois pour sa puissance depuis le tee avec des balles qui ont atteint 400 yards (365,7 mètres).
Jusqu’à présent, même le Californien Bryson DeChambeau n’avait pas réussi à aller aussi loin. Et voilà que Du Preez, numéro 1.415 au classement mondial, veut affirmer son talent au-delà de la puissance. En partant du 10, à Johannesburg, il a signé deux eagles, avec sept birdies et deux bogeys (mais arrivés au 8 et 9, ses deux derniers trous de la journée), ce qui laissait présager un super test.
Il compte parmi les sportifs les plus titrés de tous les temps, ainsi que parmi les plus riches du monde. Quand il s’agit de premières, Tiger Woods est toujours présent : 15 majeurs remportés, 110 tournois professionnels, le golfeur le plus titré de l’histoire de ce sport.
Des statistiques qui expliquent pourquoi il a réussi à rester en tête du classement mondial pendant 683 semaines (dont 281 consécutives) et surtout parce qu’il est devenu en 2014 le premier sportif au monde à avoir franchi la barre du milliard de dollars.
Chiffre astronomique qui justifie aussi le fait que Tiger Woods puisse s’offrir un yacht comme le Privacy, un vrai bateau de conte de fées. Et évidemment, nous parlons de quelque chose qui a coûté très cher. Si vous imaginez un yacht de luxe et un certain confort à bord, alors le Privacy l’a.
Long de 48 mètres, avec une superficie totale de 600 mètres carrés, ce yacht a été acheté par le golfeur en 2004. Équipé de cinq cabines pouvant accueillir un total de dix personnes, il dispose également de quatre quartiers pour neuf membres d’équipage.
Tiger Woods a l’habitude de l’appeler « mon dériveur », même si tout ressemble à un dériveur : avec une vitesse de croisière de 18 nœuds, il a également à son bord une salle de sport où le golfeur continue de s’entraîner. Woods préfère d’ailleurs rester sur ce yacht lors des tournois organisés à New York.
Avec ses intérieurs en bois de cerisier, Privacy dispose également d’un ascenseur pour trois personnes, d’un énorme jacuzzi, suffisamment grand pour accueillir huit personnes, et des inévitables salle de cinéma et coin bar. Le petit plus de ce méga yacht est fourni par la zone que Tiger Woods a voulu consacrer à la plongée sous-marine : ceci explique également la présence d’une chambre de décompression (gonflable) et d’une zone dédiée au remplissage des bouteilles d’oxygène.
Le luxe est également complété par trois jet-skis et deux scooters pour de courtes excursions à terre. Évidemment, tout cela a un prix : Le Privacy a coûté 17 millions d’euros et son entretien annuel s’élève à 1,7 million d’euros.